Le Pourkwajirépavouarssa de Tootsif : Divergente de Neil Burger (2014)

Hello les amiches ! Nouvelle semaine du pourkwajirépavouarrsa et cette fois-ci je fais dans le facile et le prévisible en vous conseillant de ne pas aller voir Divergente et, les raisons étant tellement simples que je ne m’étendrais pas des plombes dessus (et ça tombe bien vu que mes collègues critiquent ma tendance à m’étendre des plombes et des plombes).

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Alors pourquoi ne pas aller voir ce Divergente Messieurs Dames ?

C’est tout simple car on a encore à faire à un clone de Twilight/Hunger Games adapté d’un best-seller pour adolescente dont l’écriture a autant de finesse qu’une division de panzer débarquant dans un petit village normand.

Ici on est, encore une fois dans un univers post-apo où une société dictatoriale n’est pas divisé en états qui vont s’affronter dans un interville de la-mort-qui-tue, mais en tribus définies par un trait de caractère que chaque individu possède.

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Mais pas de pot pour notre héroïne, cette dernière n’est pas comme tout le monde (permettant ainsi l’identification de nos adolescentes rebelles qui se croient seules au monde) et ne rentre dans aucune case. Et la galère commence pour elle qui va devenir se battre et devenir le symbole de la résistance et entrer en résistance contre cette société dictatoriale.

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Putain ça me rappelle une autre saga ce truc là ! Et ouais c’est ça le problème de ce film qui a une grosse sensation de déjà vu et un manque total d’identité forte.

On sent bon le truc markété pour ratonner les fans de Tiwilight et Hunger Games tout comme les Eragon, LA Boussole d’or, Narnia marchaient sur les plates bandes du Seigneur des Anneaux et Harry Potter.

Bref rien de neuf sous le soleil et je vous dirai donc

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